vendredi 21 mars 2014

les 50 règles d’or pour se faire obéir sans s’énerver

Maintenant je regarde très peu les Maternelles, après deux ans de visionnage assidu on finit par tomber toujours sur les mêmes sujets ou sur des thèmes qui ne m’intéressent absolument pas et souvent j’ai cette impression que les sujets sont survolés. Enfin bref voilà. Cependant ça m’arrive après les dessins animés du matin de tomber sur le début de l’émission et un jour ils ont présenté un petit livre d’éducation « les 50 règles d’or pour se faire obéir sans s’énerver ».


La présentation efficace m’a donné envie  d’en savoir plus et après un petit tour sur amazon j’ai décidé de commander ce mini livre vu son prix dérisoire de 3,90 € .




Parce que ne plus m’énerver du tout c’est mon rêve. Même si ces jours-ci je redresse la barre, des fois j’ai l’impression d’avoir perdu toute ma patience. Je ne sais pas si c’est le fait d’être maman solo et de devoir gérer quasiment tout toute seule depuis 3 ans et demi. Je ne sais pas si c’est la fatigue ou mon moral parfois vacillant. Mais je ne veux plus m’énerver. J’ai toujours été patiente avec les enfants et il n’y a aucune raison que ça cesse.


L’avantage de ce livre c’est qu’il se lit vite. Ces dernières années j’ai bien du mal de trouver du temps pour  lire, un livre court et concis, écrit simplement et allant droit au but c’est pile ce qu’il me faut (oui le soir quand je suis crevée je fais ma feignasse, je préfère bien souvent regarder une série pour mettre en pause mon cerveau).


Ce livre se divise en 6 parties :

10 principes pour une autorité sereine. 
On nous explique qu’il faut avoir confiance dans son autorité naturelle, qu’être parent est un rôle à jouer, qu’il faut définir des règles simples et cohérentes, qu’il faut repenser les limites, qu’il faut former une équipe parentale soudée, que l’autorité ne rime pas avec brutalité, qu’il ne faut pas se laisser emporter par ses émotions et qu’il faut apprendre à l’enfant à gérer les siennes, qu’il faut développer le sens de l’obéissance de l’enfant.


10 recettes pour responsabiliser son enfant
c’est-à-dire comprendre son enfant et pourquoi il n’obéit pas, développer très tôt ses bonnes habitudes, éviter les comparaisons (ma mère me le fait encore parfois et franchement ça me gonfle à un point !), ne pas oublier que c’est la faute qu’on juge et non l’enfant. On nous rappelle que l’enfant n’est pas un adulte en miniature, qu’il faut développer son sens des responsabilités, qu’il faut un bon dosage entre responsabilité et culpabilité, que la culpabilisation favorise les mauvais comportements, qu’il faut valoriser les bons comportements.


10 astuces afin d’éviter bêtises et conflits. 
On nous rappelle que tout n’est pas faute ni bêtise, qu’il faut anticiper pour limiter les frustrations, qu’il ne faut pas hésiter à isoler un peu l’enfant jusqu’à ce qu’il retrouve son calme, qu’il faut égayer le quotidien. On nous apprend que la diversion est d’une efficacité redoutable et que ce n’est pas battre en retraite. Il faut à tout prix éviter de renforcer les comportements inadaptés, il faut montrer l’exemple.


10 conseils au quotidien : 
développer la confiance en lui de l’enfant, satisfaire les besoins de son enfant, survivre à la période du non en étant patient et flexible, gérer les matins difficiles, faire des repas des moments zens, faire que tout baigne, éviter les pièges mangeurs de temps, utiliser la technique du choix illusoire, garder la face dans lors de crises dans les lieux publics, apprendre à échapper aux crises à l’extérieur.


9 idées neuves :
 il n’y a pas de caprices avant 1 an, ne sanctionner que lorsque c’est grave et trouver la juste sanction, déjouer les pièges de la culpabilité, ne pas douter de sa légitimité, crier ne sert à rien, apprendre à mieux communiquer, ne pas négliger l’humour, ne pas crainte de perdre l’amour de ses enfants,


1 prescription fondamentale : en finir avec la fessée.



Bien entendu ce n’est pas en lisant un livre que tout rentre dans l’ordre. Un livre donne des pistes de réflexions et des conseils. Il permet de réfléchir sur nos mauvais comportements afin de les modifier.
Il ne faut pas oublier que les parents parfaits ça n’existent pas plus que les enfants parfaits. On fait au mieux pour apporter une éducation respectueuse  qui va permettre à l’enfant de se construire au mieux.



Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire